Les distilleries coopératives viticoles actrices de la bioéconomie
« Les bioressources –ou encore biomasses- constituent le cœur de la bioéconomie (…) et sont directement ou indirectement issues de la photosynthèse et sont renouvelables. La bioéconomie englobe l’ensemble des activités liées à la production, à l’utilisation et à la transformation de bioressources. Elles sont destinées à répondre de façon durable aux besoins alimentaires et à une partie des besoins matériaux et énergétiques de la société et à lui fournir des services écosystémiques » (source : « Une stratégie bioéconomie pour la France »).
Les distilleries coopératives viticoles sont des actrices de la bioéconomie qui inclut l’Agriculture, la Forêt, la Pêche en tant que producteurs de bioressources, et les secteurs de l’agroalimentaire, de la bioénergie, de la chimie verte et de la gestion des déchets en tant qu’entreprises de valorisation.
Les distilleries coopératives viticoles sont des bioraffineries
Selon « la feuille de route Recherche et Développement de la filière chimie du végétal « une bioraffinerie se définit comme « un ensemble industriel (…) mettant en œuvre des procédés destinés à fractionner les composants de la biomasse en ses différents éléments constitutifs, ces derniers pouvant ensuite être fonctionnalisés par différents procédés mécaniques, physico-chimiques ou biologiques, afin d’obtenir des produits intermédiaires alimentaires et non alimentaires (chimie, énergie), produits qui sont ensuite directement utilisés ou formulés selon les besoins des industriels finaux. Selon le concept de la bioraffinerie l’intégralité de la bioressource utilisée doit être valorisée » (source ADEME).
Les adhérents de la FNDCV répondent parfaitement à cette définition de bioraffinerie grâce à leurs process industriels et à leurs nombreux débouchés alimentaires, énergétiques, agricoles et industriels.
Les entreprises adhérentes de la FNDCV et la Bioéconomie circulaire